Virginie Efira au FIFF: “ Benoît Poelvoorde est un génie ”
Depuis “ La Nouvelle Star ”, Virginie Efira a parcouru du chemin. La jolie blonde, installée à Paris désormais, était à Namur ce week-end pour promouvoir “ Dead Man Talking ”, premier film de son ex-mari Patrick Ridremont dans lequel elle tient l’un des principaux rôles.
Encore un nouveau long-métrage pour toi. La page télé est définitivement tournée?
Ca fait un moment déjà, depuis 4 ans. J’avais envie de raconter des histoires. Je n’osais pas trop le dire mais j’avais envie de m’exprimer autrement qu’en demandant toutes les deux minutes aux gens d’envoyer des sms... Mais, je ne renie rien. J’ai adoré faire la Nouvelle Star, c’était super.
Que de bons souvenirs de cette émission donc?
Oui, excellents même. Et des rencontres. Julien Doré, par exemple. C’est un de mes meilleurs amis.
C’est ta formation de comédienne qui t’a menée vers le cinéma finalement...
Oui. Puis surtout, ce sont des désirs d’enfance. Je trouvais dommage de ne pas essayer de les réaliser. Quitte à ne pas y arriver. D’ailleurs, je pense qu’aujourd’hui j’ai moins de notoriété que dans ma phase télé mais je suis plus épanouie. Parce que je fais vraiment ce que j’aime.
Tu as déjà tourné avec des grands noms. Et parmi eux, des Belges comme Benoît Poelvoorde...
Je suis folle de lui! J’ai une estime très forte pour lui. C’est un génie épatant, intelligent et plein d’humanité. On dirait qu’il est le seul à ne pas encore avoir compris qu’il était exceptionnel. Il est important pour l’intérêt général.
Et François Damiens?
Je l’adore à fond! On a commencé à RTL ensemble. Caméras cachées, etc. J’aurais fait n’importe quoi pour passer du temps, faire la fête et picoler avec lui! Il est très poétique et gentil. Comme Benoît, en fait. Des gens fondamentalement bons.
Et Namur, ça t’évoque quoi?
Énormément de choses. Étant bruxelloise, j’ai découvert la Wallonie grâce à Patrick qui vivait à Dave. Et puis, le FIFF l’an passé. Avec Benoît Poelvoorde, ça s’est terminé le matin...