LE FORUM NON-OFFICIEL DE LA BELLE VIRGINIE EFIRA
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

LE FORUM NON-OFFICIEL DE LA BELLE VIRGINIE EFIRA


 
Accueillivre d'orPortailDernières imagesS'enregistrerConnexion
Le Deal du moment :
Cartes Pokémon 151 : où trouver le ...
Voir le deal

 

 ELLE EN (BELGIQUE) janvier 2008

Aller en bas 
2 participants
AuteurMessage
emilie
Admin
emilie


Féminin Nombre de messages : 505
Age : 39
Localisation : plateau tv
Date d'inscription : 23/01/2009

ELLE EN (BELGIQUE) janvier 2008 Empty
MessageSujet: ELLE EN (BELGIQUE) janvier 2008   ELLE EN (BELGIQUE) janvier 2008 Icon_minitimeJeu 14 Jan 2010 - 7:22

ELLE EN (BELGIQUE) janvier 2008 La-nou10

Elle fait son show sur Canal et tourne avec Depardieu. Pour ELLE Belgique, elle interprète un remake de The Body, version glamour’n’roll, mais sans rien perdre de son côté attachant. Divine Virginie !

Elle arrive souriante, à peine maquillée. À Paris, Virginie Efira a raté son Thalys. A beaucoup couru à Bruxelles pour être quand même à l’heure. Tous ces contretemps ne sont pas venus à bout de sa légendaire bonne humeur. Slim noir et blouson en cuir, elle fait la bise à tout le monde dans le studio. Une, comme en Belgique, ou deux, comme à Paris ? Elle prend à peine le temps de boire un café, un grand, elle est prête pour le shooting. Briefing du jour : la nouvelle Virginie Efira se dévoile, d’image en image, en un mini-striptease. Classe et sous contrôle, la rédaction s’y engage. Des vêtements que lui propose notre styliste Anne Rabeux, Virginie essaie tout, histoire de voir dans quoi elle se sent le mieux. Après tout, ce n’est pas tous les jours qu’elle se met ainsi à nu, se regarde. Regard critique, même si tout le monde ici la trouve très belle dans le slim en cuir et la chemise blanche griffés Givenchy. Bien sûr, elle a minci, son corps s’est musclé. Mais on le voit dès le maquillage et la coiffure : ses bras, ses épaules gardent leurs rondeurs ultraféminines. En avant pour la séance photos. Un shooting avec Virginie Efira, c’est comme une énorme dose de bonne humeur et de simplicité. Ce qui prouve bien qu’elle a vraiment tout d’une grande. De celles qui savent garder les pieds sur terre et la tête sur les épaules, même quand tout le monde les reconnaît dans la rue. La mode ? Virginie adore ça ! À Paris, elle habite place des Victoires. « Un quartier incroyable : on est au cœur de la mode. Tu sors le midi pour t’acheter un sandwich et tu rentres avec une robe !» explique-t-elle, dans un grand éclat de rire. « À deux pas, il y a le quartier Montorgueil, un peu comme un village en plein cœur de Paris. » Entre ville et village, entre Paris et Bruxelles, voilà comment elle vit, Virginie. Et c’est sans doute ce qui la rend si intéressante, prête à se remettre en question et à bousculer son image, comme aujourd’hui pour nous, qui avons bien remarqué qu’elle avait travaillé son body et lui avons demandé de tout nous expliquer sur cette mini-transformation.

Vous vous sentiez comment ce matin, dans le Thalys, en venant sur ce shooting où il est avant tout question de se dévoiler ?
Évidemment, a priori, j’avais plutôt un recul par rapport à l’idée d’un effeuillage façon striptease. À quoi ça peut servir ? Et puis, que vont penser les gens  ? Mais là, comme c’est la deuxième fois que je posais pour ELLE Belgique, j’avais vraiment toute confiance en les gens avec qui j’allais travailler. Je ne me suis pas posé de questions. J’ai même accepté tout de suite ! Finalement, ce shooting a quelque chose à voir avec le jeu. Et c’est aussi un travail d’équipe : on essaie de créer quelque chose de beau ensemble. Sans cela, ça devient quelque chose d’égocentrique : pas mon truc. Mais s’il s’agit d’entrer dans la peau d’un personnage, comme ici, alors je suis partante. Ici, j’ai beaucoup aimé le stylisme, les vêtements un peu plus masculins, un peu plus rock. Ils correspondent à cette envie que j’ai de gommer une certaine candeur, un certain côté "blonde évidente". C’est à la fois très habillé, très bijouté, mais il y a un côté rentre-dedans qui me plaît. Le seul moment que je n’ai pas aimé, c’est la dernière photo, celle où je suis le plus dévêtue. J’ai essayé d’effacer le côté aguicheur et de faire en sorte que l’ensemble reste ludique. »

Qu’est-ce qui vous dérange dans le fait de montrer votre corps, d’être plus déshabillée ?
Je n’ai pas l’habitude de ce genre de choses, tout simplement. J’ai eu peur qu’il y ait un côté vulgaire, même si je sais que tout est réfléchi dans une séance photo, qu’on sait déjà comment on veut montrer les choses. J’aime mon corps, mais si à un moment donné les choses avaient dérapé dans un plan « je me prends au sérieux, je suis une vraie stripteaseuse », alors j’aurais dit non. Peut-être parce que j’ai l’impression qu’au niveau de la sensualité, j’imprime parfois quelque chose d’un peu trop évident, et que c’est justement ça que j’essaie de gommer.

Pourtant, votre corps est parfait ! On vous connaissait un peu plus ronde jusqu’ici. Vous avez travaillé pour vous sculpter ce corps de rêve ? Quels sont vos secrets ?
Je n’ai aucun problème avec mon corps. J’ai des défauts et je les assume. Je fais un métier d’image, mais jusqu’ici je n’étais absolument pas concernée par le côté physique. Je ne faisais absolument pas attention. Or je travaille à la télévision et, on le sait, elle t’enlève toujours un mètre en hauteur pour t’ajouter un mètre cube ! Mais je m’assumais complètement. J’étais clairement une des mieux nourries de la télé, mais après tout, je ne voyais pas où était le problème ! J’ai changé quand j’ai été contactée pour tourner « Le Siffleur » de Philippe Lefebvre, avec Thierry Lhermitte et François Berléand (sortie en mai). J’ai lu le scénario : c’est l’histoire d’une fille pour qui le monde tourne autour d’elle et de son corps. J’ai eu un premier rendez-vous et Philippe m’a demandé comment j’imaginais mon personnage, physiquement. Je lui ai tout de suite dit que je ne la voyais certainement pas comme moi ! Cette fille est sûre d’elle, donc, forcément, elle passe du temps sur son corps, elle ne peut pas être comme moi ! Elle doit se tenir plus droite, dégager quelque chose de beaucoup plus sexuel. Physiquement, il fallait qu’elle soit parfaite. C’est moi-même qui ait dit à Philippe que pour jouer ce rôle, il fallait que je perde du poids. Il m’a tout simplement répondu : « Oui, si tu veux, en tout cas tu seras en maillot les trois quarts du temps… » À partir de ce moment-là, il fallait que je bosse. Ce n’était plus qu’une question de goût personnel, c’était professionnel.

Et vous avez fait quoi  ?
Du sport, comme une acharnée. Ce qui n’est pas, je l’avoue, ma passion première ! Mon père m’ayant inscrite très jeune dans tous les clubs sportifs de Bruxelles et de Wallonie, j’en étais dégoûtée. J’ai trouvé un coach, je suis allée en salle avec lui. Quatre ou cinq heures par semaine. Il m’a fait faire des trucs très ennuyeux, du type contractions abdominales, machines de torture… Le suivi a été très intensif, avec une alimentation moins dans les excès qu’à mon habitude, à base de tout ce qui est vert. Finalement, ça a été assez facile. Le coach m’a motivée, j’ai arrêté de râler et j’ai suivi ses conseils. Le film a aussi été une très grande motivation : je ne pouvais quand même pas le faire en apnée, en rentrant mon ventre à chaque prise ! Je n’avais pas le choix. Mes copines m’enviaient cette motivation ultime : quand on sait qu’on va se retrouver à moitié nue dans un film, pas question de tergiverser. Donc j’ai fait ce sport, j’ai fait hypergaffe à ce que je mangeais et j’ai fini par aimer ça. Ce qui ne m’a pas empêchée de continuer à avoir une vie sociale, à apprécier le fait de manger. Je suis d’une nature extrêmement gourmande, je ne changerai pas, mais je fais plus attention !

Quels ont été finalement les résultats de tous ces efforts ?
J’ai perdu du poids, ma silhouette s’est redessinée. J’avais quelques kilos à perdre, donc j’ai véçu ce que vivent toutes celles qui font gaffe avant l’été parce qu’elles veulent juste être bien à la plage. Je me suis musclée, c’est pas trop compliqué. Bien sûr, tout le monde ne peut pas avoir un coach, mais tout le monde peut avoir de la volonté. Et c’est juste ça qui compte, finalement. En un mois et demi, j’ai perdu quatre à cinq kilos et je me suis tonifiée. Ce n’est pas très drôle, franchement, il y a des chose plus amusantes que de courir sur un tapis roulant comme une dératée ! J’ai connu des activités plus passionnantes. Depuis la fin du tournage, je relâche quand même un peu la bride. J’aime faire la fête, je suis gourmande, mais bon, je continue à faire attention, parce que j’ai pris goût au fait de pouvoir jouer avec ce corps, d’être plus à l’aise avec lui. Sur une séance photo, c’est important. C’est quand on ne s’aime pas qu’on commence à devenir chiante, pas vrai ? Le tout est d’arriver à avoir une certaine estime de soi, parce dix kilos de plus, dix kilos de moins, ça ne compte pas beaucoup.

L’image que l’on renvoie aux autres, c’est important, mais y a-t-il pour vous d’autres manières de travailler l’estime de soi ?
Pour moi, ça passe surtout par d’autres choses : s’entourer de gens qui vous portent de l’estime, savoir écouter ces gens-là quand ils ont quelque chose de négatif à vous dire. Cela passe aussi par des choix, par le fait d’affronter sa trouille, de triompher, d’avoir le courage d’essayer. Et puis, il est important d’avoir certaines valeurs et de s’y tenir. Se respecter, être honnête, sincère par rapport à soi, par rapport aux autres. J’avance, je sais que je me plante parfois, mais je suis aussi quelqu’un qui sait pardonner.

Comment vivez-vous le fait d’être à Paris ? On dit que c’est beaucoup plus difficile d’y faire le métier que vous faites. Info ou intox ?
C’est vrai, bien sûr. La presse est différente, les enjeux sont différents, donc on est plus dans une réflexion sur l’image qu’on projette, sur ce que l’on représente. Mais je me dis toujours que ce n’est pas parce que l’état d’esprit est comme ça qu’on est obligé d’y adhérer. On peut regarder cela de l’extérieur. Parfois, forcément, on tombe un peu dedans. Ça m’est arrivé. Je me suis regardée et je me suis dit : « Tu ne te calmerais pas un tout petit peu ? » Ce qui est important, c’est de garder un regard sur soi. C’est pour ça que j’adore revenir en Belgique, où ce système de « castes » n’existe pas. Ceci dit, les Parisiens ne sont pas les méchants loups et les Belges, les Bisounours ! Il y a un peu de tout partout, même si c’est vrai que les gens se regardent un peu plus faire et s’écoutent un peu plus parler à Paris. Y arriver avec cet espèce de naturel belge, cette sincérité sans jugement, fait qu’en général les gens vous renvoient le même regard.

Professionnellement, quels sont vos projets ? Où vous retrouvera-t-on dans les prochains mois ?
J’ai changé de chaîne, je suis partie de M6, où j’étais très bien, mais j’avais envie d’essayer d’autres choses, de tenter des trucs, de me dépasser. La proposition de Canal + est venue à point, même s’ils ne me proposaient rien de précis. L’image globale de Canal me plaît, le fait qu’ils ne soient pas assujettis aux audiences. Il y a une liberté différente qui m’intéressait, tout en me foutant la trouille, donc j’ai accepté. Et puis j’ai été prise dans le film de Philippe Lefebvre. Cela correspondait à ce que je voulais : faire des choses différentes. Pour le théâtre, j’ai lu beaucoup de pièces. J’ai réalisé que ma culture reste très ancrée en Belgique, et qu’un de ses auteurs, Philippe Blasband, est particulièrement talentueux. « Une liaison pornographique », c’est lui. J’adore, mais ça a déjà été fait et repris au théâtre. Et puis j’ai découvert cette autre pièce de Blasband, qui s’appelle « Nathalie Ribout ». L’histoire d’une femme que son mari a quitté et qui le vit extrêmement mal. Elle décide d’engager une pute pour vivre des aventures sexuelles qu’elle va mettre en scène et lui raconter. Le langage est extrêmement cru, ça parle de sexe, mais de manière presque désincarnée, pornographique. Derrière, il y a cette fascination que l’une éprouve pour l’autre. J’ai rencontré les gens du Théâtre Marigny à Paris, Pierre Lescure, qui est quelqu’un avec une fantaisie extraordinaire et sans jugement. Alain Berliner va la mettre en scène, et pour le rôle de l’autre femme, on a choisit Maruschka Detmers. Vous voyez, je vous le disais, ce qui m’intéresse, c’est la diversité.

À voir, à Paris, dès le mois de février… Et, plus tard, « notre » Virginie Efira sur le grand écran, aux côtés de Gérard Depardieu et André Dussolier, dont elle sera la fille. Vous avez dit diversifié ?
Revenir en haut Aller en bas
https://virginieefira.1fr1.net
sylvie95210

sylvie95210


Féminin Nombre de messages : 461
Age : 64
Localisation : saaint gratien
Date d'inscription : 23/02/2009

ELLE EN (BELGIQUE) janvier 2008 Empty
MessageSujet: Re: ELLE EN (BELGIQUE) janvier 2008   ELLE EN (BELGIQUE) janvier 2008 Icon_minitimeVen 15 Jan 2010 - 0:37

Bravo pour l'article et grace a moi
Revenir en haut Aller en bas
emilie
Admin
emilie


Féminin Nombre de messages : 505
Age : 39
Localisation : plateau tv
Date d'inscription : 23/01/2009

ELLE EN (BELGIQUE) janvier 2008 Empty
MessageSujet: Re: ELLE EN (BELGIQUE) janvier 2008   ELLE EN (BELGIQUE) janvier 2008 Icon_minitimeVen 15 Jan 2010 - 21:20

Oui ces vrais merci beaucoup
Revenir en haut Aller en bas
https://virginieefira.1fr1.net
Contenu sponsorisé





ELLE EN (BELGIQUE) janvier 2008 Empty
MessageSujet: Re: ELLE EN (BELGIQUE) janvier 2008   ELLE EN (BELGIQUE) janvier 2008 Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 
ELLE EN (BELGIQUE) janvier 2008
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» ELLE EN (BELGIQUE) 7 janvier 2010
» Virginie Efira -Elle Belgique Janvier 2010
» Nous penssons que virginie elle auras un nouveau programme sur canal elle reste ca seras a la rentrée
» Dignitas en belgique
» lalibre belgique.be 02/03/

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
LE FORUM NON-OFFICIEL DE LA BELLE VIRGINIE EFIRA :: Virginie Efira au théâtre :: Réactions des journalistes-
Sauter vers: